
Un arrêté préfectoral de février 2013 impose aux propriétaires d’un palmier infesté par le charançon rouge, l’obligation de faire procéder à leur éradication. Elle peut se faire soit par destruction de la seule partie contaminée, soit par destruction totale du végétal.
Dans le cas contraire, un retard du traitement peut entraîner des problèmes phytosanitaires et un risque de sécurité publique, notamment par la chute des palmes, voir du palmier entier.