Géographie
Quand Jean-Paul Colombani parle de son cinéma de plein air, difficile de ne pas percevoir un appel au rêve. Il faut dire que l’homme, à l’époque où la technologie n’avait pas envahi nos vies, faisait déjà des dessins animés sur du papier transparent. Depuis il a grandi, et avec lui l’idée d’offrir aux autres le cinéma. Dans le sens le plus noble du terme. Avec la création de son cinéma en plein air à Travu en 1982, Jean-Paul Colombani a vécu l’évolution du cinéma. « J’ai commencé par le 36 mm et des lanternes au charbon, se rappelle-t-il. Et puis nous sommes passés au xénon et à l’époque c’était une véritable innovation. Aujourd’hui on est au numérique et c’est vrai que les contraintes techniques sont moins importantes. C’est pour moi un rêve de gosse finalement. J’étais complètement émerveillé quand Monsieur Bouis passait avec son cinéma ambulant dans le Fium’Orbu. »
Le Bel Aria ouvre tous les ans durant la saison estivale. « Quoi de mieux après une journée caniculaire que d’aller en famille ou en amoureux se poser devant un film, questionne Jean-Paul Colombani. C’est magique. C’est un autre monde qui s’offre à nous quand on se plonge dans un film. »
Le cinéma de Travu, c’est aussi de belles histoires. « Je connais des gens qui se sont rencontrés ici et qui se sont mariés, évoque-t-il. Pour moi, c’est la plus belle des récompenses. »
Le Bel Aria ouvre tous les ans durant la saison estivale. « Quoi de mieux après une journée caniculaire que d’aller en famille ou en amoureux se poser devant un film, questionne Jean-Paul Colombani. C’est magique. C’est un autre monde qui s’offre à nous quand on se plonge dans un film. »
Le cinéma de Travu, c’est aussi de belles histoires. « Je connais des gens qui se sont rencontrés ici et qui se sont mariés, évoque-t-il. Pour moi, c’est la plus belle des récompenses. »
Une programmation éclectique
Derrière l’enchantement d’un film à la belle étoile, le responsable ne ménage pas ses efforts.
« Je fais attention à pouvoir proposer un programme qui convient à tout le monde, les petits et les grands, confie Jean-Paul Colombani. C’est pour cela que je regarde d’abord tous les films avant de les diffuser. Et ensuite nous rentrons en contact avec les distributeurs que sont, par exemple, Warner Bross, Paramount ou Gaumont. »
Quant à l’affluence, elle est variable. « Parfois nous avons 50 personnes lors de la présentation de nouveaux films et puis certains soirs il n’y a pas un chat parce qu’il y a la fête dans un village ou quelque chose de plus intéressant prévu ailleurs. Mais ce n’est pas grave, le tout c’est que les habitants et les touristes sachent qu’il existe un cinéma et que tous les soirs nous diffusons un film à partir de 22 heures », conclut Jean-Paul Colombani.
Le cinéma reste ouvert jusqu’à la fin du mois d’août. Ensuite, c’est l’Excelsior de Prunelli qui prend le relais, une autre institution du 7e art en Plaine orientale.
« Je fais attention à pouvoir proposer un programme qui convient à tout le monde, les petits et les grands, confie Jean-Paul Colombani. C’est pour cela que je regarde d’abord tous les films avant de les diffuser. Et ensuite nous rentrons en contact avec les distributeurs que sont, par exemple, Warner Bross, Paramount ou Gaumont. »
Quant à l’affluence, elle est variable. « Parfois nous avons 50 personnes lors de la présentation de nouveaux films et puis certains soirs il n’y a pas un chat parce qu’il y a la fête dans un village ou quelque chose de plus intéressant prévu ailleurs. Mais ce n’est pas grave, le tout c’est que les habitants et les touristes sachent qu’il existe un cinéma et que tous les soirs nous diffusons un film à partir de 22 heures », conclut Jean-Paul Colombani.
Le cinéma reste ouvert jusqu’à la fin du mois d’août. Ensuite, c’est l’Excelsior de Prunelli qui prend le relais, une autre institution du 7e art en Plaine orientale.
